Skyborne Genesis, Hype autour d’un projet Web3 gaming.

Pour commencer, petit rappel : Le jeu dans le Web3.0 est un processus de jeu décentralisé où les activités d’un écosystème de jeu ou d’une plateforme de jeu, en particulier en ce qui concerne la propriété des actifs de jeu et la prise de décision dans tous les aspects du jeu, sont déléguées loin de toute autorité centrale. Certains le qualifient de plus égalitaire, et on entend également souvent que de tels jeux sont des play-to-earn, autrement dit je joue et je gagne quelque chose, généralement des NFT que l’on peut ensuite revendre sur le second marché pour de l’argent.

Et dernièrement, je suis tombé sur ce jeu, Skyborne Genesis, au détour d’un post X, qui a retenu mon attention car ce mini-jeu est l’arbre qui cache la forêt, à savoir un projet bien plus vaste et qui apparait murement réfléchi par ses créateurs. Pour la petite présentation de ce à quoi il faut s’attendre, je vous propose une traduction d’un article posté par jeffreygwey sur la page Web3 Game. On se retrouve après la lecture pour mon avis sur ce jeu en devenir !

Skyborne Genesis est donc un jeu via navigateur rempli de quêtes à accomplir pour obtenir des récompenses NFT et qui servira en quelque sorte de prologue pour la suite.
Le mini-jeu Skyborne Genesis, qui sera une histoire interactive, préparera ainsi le terrain pour de futures sorties, comme un jeu d’aventure fantastique mobile nommé Skyborne Phoenix Flight, ainsi qu’un MMORPG nommé Skyborne Legacy. Jeux qui seront lancés en 2024.

Revolving Games, éditeur du jeu

Skyborne est produit par le studio de jeux Revolving Games. Revolving Games bénéficie du soutien d’un large éventail d’investisseurs Web3, dont Pantera Capital, Gala Games, Animoca Brands, Polygon, et d’autres encore. Le studio de jeux vise à sortir un large portefeuille de jeux Web3 avec des éléments de blockchain. Une équipe mondiale de plus de 125 personnes travaille actuellement pour Revolving Games.

Skyborne existe depuis plus d’un an maintenant et est un jeu très attendu au sein de la communauté NFT. La société mère a levé plus de 25 millions de dollars au cours des dernières années. Il semble qu’ils aient suffisamment confiance dans le succès de leurs prochains lancements de jeux car qu’ils ont lancé un « mint » gratuit pour les membres de la communauté les plus actifs.
Les futurs joueurs de Skyborne ont eu ainsi l’occasion de récupérer gratuitement des NFT sous forme de « Nexian Gem ». Cette « Nexian Gem » permettant à son tour de récupérer 3 Immortels gratuits. Ne vous inquiétez pas, nous expliquerons tout cela en détail plus loin !

Quelle date de sortie ?

Christopher Arrington est le directeur du jeu chez Skyborne et a présenté brièvement la feuille de route dans une vidéo récente. Il n’y a pas de dates précises pour les phases, mais l’ordre dans lequel nous pouvons nous attendre à ce que les sorties de jeu se produisent est bien défini, comme on peut le voir sur l’image ci-dessous.

Phase 1 – Le jeu Skyborne Genesis, qui je jouera dans son navigateur et qui devrait être disponible d’ici 2 mois maintenant.
Phase 2 – Le jeu Skyborne Phoenix Flight, jeu sur mobile.
Phase 3 – Le jeu Skyborne Legacy, un MMORPG sur PC.

Le jeu Skyborne Genesis est donc conçu en priorité pour la communauté Web3 et nécessite que vous ayez au moins 1 Immortel pour jouer (vous vous rappelez les fameux NFT dont nous parlions plus haut). Skyborne Phoenix Flight sera le premier titre à être publié à destination des joueurs Web2. La stratégie mobile est une priorité pour Revolving Games et ils anticipent que ce titre sera largement adopté par les joueurs du monde entier (car disponible sur outil nomade). Skyborne Legacy arrivera plus tard, visant les joueurs sur les ordinateurs de bureau ou portables.

Que sait-on de Skyborne Genesis actuellement ?

Vikki Ruttle est la conceptrice en chef du jeu et elle a donné quelques informations pour comprendre Genesis. Le jeu fonctionnera comme un prologue dans l’univers de Skyborne Legacy. Son récit sera alimenté par des arcs et du contenu saisonnier. Les joueurs se lanceront dans des aventures tout en accomplissant des quêtes avec leurs héros Immortels NFT.

Le fait de réussir ces quêtes donnera droit à des récompenses elles-aussi sous forme de NFT qui seront interopérables avec les autres jeux. Ainsi, les fans de Skyborne qui participent au jeu Genesis posséderont une grande diversité d’actifs en jeu à utiliser ultérieurement dans Legacy. Skyborne travaille avec la blockchain Polygon en utilisant leur propre chaîne d’application nommée « Supernet ». Cela permet aux joueurs de réellement posséder leurs actifs en jeu dans leurs propres portefeuilles.

De l’importance des « Gems » et des Immortels.

Intéressons-nous maintenant aux « Gems » et Immortels pour comprendre ce que ces NFT de collection peuvent apporter. Le 21 juillet, les internautes sur Liste Blanche ont ainsi pu « minter » des « Nexian Gems », ce qui leur a également accordé 3 Héros Immortels uniques. Au moment de la rédaction de cet article, l’art des 9 999 Immortels a été révélé. Les 3 333 « Nexian Gems » devraient être révélés plus tard en août.

Les Immortels de Skyborne Genesis, aussi appelés Héros, sont une collection de héros d’élite dans Skyborne Legacy. Chaque Immortel a des traits et des capacités uniques qui améliorent leur gameplay. Ils sont également uniques dans leur design, et ont parfois des animations et des traits légendaires. Ces immortels ajoutent de la profondeur à la narration de Skyborne et offrent aux joueurs des opportunités de gagner des récompenses excitantes.
Ils peuvent servir de photo de profil (sic), mais surtout, ces Immortels vont permettre aux joueurs de gagner des récompenses en accomplissant des quêtes. Le niveau de détail qui a été mis dans la création des Immortels est assez impressionnant.

Ce qui est intéressant à savoir pour les quêtes, c’est que chaque quête aura des exigences de traits différentes. Chaque Immortel étant doté de plusieurs traits, généré aléatoirement lors de leur création. Un Immortel peut être un leader, un être mythique, un très rare 1/1, et présenter diverses armes, artefacts et autres apparences visuelles.

À chaque quête, les joueurs pourront envoyer un maximum de 3 Immortels, il peut donc vraiment être avantageux pour les joueurs de posséder un ensemble diversifié de héros Immortels. Pour le moment, il est surtout question de deviner quels Immortels sont rares ou suffisamment intéressants à collectionner pour obtenir des récompenses plus exclusives lors des quêtes. Skyborne proposera de nombreux guides et informations de jeu à mesure qu’ils se rapprocheront de la date de lancement pour rendre toutes ces informations cruciales facilement accessibles.

D’autre part nous avons aussi les « Nexian Gems » de Skyborne, anciennement appelées « Charms ». Ces gemmes ont une valeur significative et offrent aux détenteurs des privilèges spéciaux. En possédant des « Nexian Gems », les joueurs obtiennent un accès à une liste blanche pour toutes les futures « mint » de Skyborne, garantissant un accès précoce et exclusif au nouveau contenu et aux objets de collection. Les « Nexian Gems » offriront une utilité supplémentaire, qui sera annoncée dans un avenir proche.

Ainsi, tandis que les Immortels de Genesis sont des personnages puissants avec des traits uniques, les « Nexian Gems » offrent des privilèges exclusifs et un accès au contenu futur de l’univers Skyborne Legacy. Il existe aussi 10 « Nexian Gems » uniques 1/1 (la plus haute rareté) à découvrir lors de leur révélation, il y a 10 variations des gemmes (feu, terre, eau, vent, etc.), et il peut y avoir une rareté échelonnée entre les 10 Gemmes élémentaires également.

À l’intérieur de la collection des Immortels, il y a 6 NFTs animés uniques à découvrir. Ces Immortels très recherchés sont dotés d’une rareté mythique extrêmement rare. Chacun d’entre eux est accompagné d’histoires personnalisées et chacun jouera un rôle important dans la narration du jeu web de la phase1. Après leur révélation, un seul a été vendu sur le marché secondaire jusqu’à présent pour 0,95 ETH (1800 $), avec un prix plancher actuel de 1 ETH.

Le monde de Skyborne Genesis.

Le jeu commence à Elysia, en plein centre de la carte du monde de Skyborne Genesis. La représentation visuelle actuelle de la carte du monde est encore en cours d’élaboration, donc le produit final pourrait différer de cette carte conceptuelle. Plus d’informations sur les régions seront révélés à mesure que la date de lancement approche.
Il sera passionnant d’explorer la carte complète et tous ses détails cachés. L’équipe de Skyborne accorde une grande attention aux détails lors de la conception de chaque aspect de leur franchise, et cela se voit vraiment. En ce qui concerne les quêtes et les quêtes annexes qui deviendront disponibles, il faudra également faire preuve de patience pour obtenir plus de détails.

De ce que l’on sait actuellement, vous explorez la carte, trouvez des quêtes ou des bannières et sélectionnez la quête que vous souhaitez entreprendre. À partir de là, vous sélectionnez les Immortels les plus adaptés à la quête spécifique, ainsi que d’autres objets en jeu. Pour devenir un explorateur de quête réussi, il est crucial de se familiariser avec les informations sur les traits une fois qu’elles auront été publiées. Cela maximisera vos chances de remporter les récompenses spéciales et de tirer le meilleur parti de votre temps.

Les traits ont en effet un impact sur les chances de butin. Certaines séries de traits maximiseront cet effet. Les traits représentent par exemple des types de dégâts, des objets ou des armes, comme on peut le voir sur l’image ci-dessous, tirée de la developer update.

Les devises et les ressources peuvent être gagnées en accomplissant les quêtes, ou vous pouvez les acheter directement. En gagnant des devises en jeu, vous pourrez acheter également des objets de récompense.

Les récompenses seront très diversifiées, et certains de ces objets seront interopérables lors de la sortie complète du jeu Legacy, prévue l’année prochaine. Ainsi, explorer l’ensemble de la carte du monde et accomplir autant de quêtes que possible dans les prochains mois vous donnera certainement un avantage. Les récompenses peuvent également changer avec les saisons, littéralement, de manière similaire à la façon dont d’autres jeux web2 mettent en œuvre différentes saisons.

Et la suite ?

Di Dan est le directeur de la conception chez Skyborn et nous en dit un peu plus sur Phoenix Flight. C’est un RPG de construction d’îles qui se déroulera après les événements de Skyborne Genesis. Les joueurs exploreront le monde de Skyborne à la recherche de compagnons, trouveront des trésors perdus et découvriront des dragons fantastiques qu’ils pourront élever.

L’équipe souhaite rapidement lancer un jeu mobile après Genesis, et les récompenses pourront également être transférées dans ce jeu. Le jeu sera gratuit pour permettre au plus grand nombre de joueurs Web2 d’accéder au jeu Phoenix Flight. Le lancement est prévu pour janvier 2024. Parmi les fonctionnalités intéressantes, on compte les objets modulaires. Vous pourrez créer des armes, des armures, des meubles et des objets similaires. Mais ils auront tous des facteurs et des traits variés, rendant certains objets plus puissants, beaux ou rares que d’autres. Tous ces objets personnalisés peuvent également être échangés, vous pouvez donc (et devriez) faire preuve de créativité autant que possible.
Les dragons et surtout l’élevage de ces créatures magiques et puissantes vont être très importants. Vous commencerez avec des œufs que vous pourrez faire éclore. Avec des soins appropriés, ils grandiront de plus en plus et se transformeront en véritables dragons. Mais il faudra attendre encore un peu pour en apprendre plus sur ces oeufs.

Conclusion : faut-il se lancer dans Skyborne avant la phase web2 ?

Bon, je ne vous cache pas que ma réponse est clairement oui et que j’ai personnellement commencé à acheter des Immortels pour participer à la phase 1. On se prend rapidement au jeu et la recherche des combinaisons potentiellement gagnantes pour réussir toutes les missions s’avère intellectuellement intéressante. Mon côté collectionneur compulsif trouve ici de quoi satisfaire les pulsions « complétistes » (oui je sais, le terme n’existe pas mais on s’en moque, vous avez compris !) Par contre, seul reproche, l’utilisation de l’Etherum pour les transactions, ce qui veut dire ‘Gas Fee’. Acheter un NFT à 0.001 ETH (18$ environ) peut rapidement se transformer en 30$ si le réseau est occupé. Et même en temps de paix si j’ose dire, il en coutera au moins 6 ou 7$ de plus.
Pour les « Nexian Gems » et le fait qu’elles n’ont pas encore été révélées, il y a ici un petit côté casino ici qui n’est pas sans me déplaire. Il y en a 3333 donc et 10 d’entre elles seront mythiques. On imagine facilement que certains pourraient les revendre à un bon prix !
Si vous voulez vous faire une idée, je vous renvoie sur ma page Opensea pour jeter un œil à ces petits Immortels qui pourraient bientôt devenir une ‘ressource’ recherchée pour entrer dans l’univers de Skyborne. Et on ne vas pas se mentir, il y a un petit côté spéculatif, car une fois le jeu lancé, la valeur de ces 9999 Immortels pourrait monter en flèche.
J’espère que le petit aperçu de ce que réserve la franchise vous aura donné envie de vous lancer et pour conclure, les quelques liens et sources utilisées pour ce billet :

Article original : https://theweb3game.com/skyborne-genesis/
Site de Skyborne Genesis : https://skybornegenesis.com/
La collection Immortels sur Opensea : https://opensea.io/collection/skyborne-genesisimmortals
La collection Nexian Gems sur Opensea : https://opensea.io/collection/skyborne-nexiangems

De l’importance d’une bonne pancarte dans une manif’…

Dévions aujourd’hui légèrement des trucs que j’accroche sur mes murs pour parler d’une sympathique initiative où se mêle féminisme, activisme et une petite dose de pop culture parce que quand même c’est important quand il y a, même pour des sujets graves, un lien avec des références aux oeuvres culturelles, petites ou grandes.

Pour ceux (en majorité) et celles (en minorité je l’espère) qui ne le savent pas, le mois de janvier est synonyme depuis 2017 à Washington (et dans d’autres villes et pays d’ailleurs) de la Women March. La première édition fut une réaction spontanée à l’élection de Donald Trump et rassembla plusieurs centaines de milliers de participant(e)s dans la capitale mais également dans de nombreuses villes. Je passe sur la polémique entre les différentes « dirigeantes » du mouvement et sur la dissolution du groupe pour éviter toute récupération politique. Toujours est-il qu’il reste aujourd’hui une Women’s March depuis cette date et que même si elle est beaucoup moins suivie (car moins spontanée ?), elle a encore eu lieu cette année.

Ce qui nous amène (oui je sais j’en vois qui se demandait où je voulais en venir avec ma manif’ là) à une petite mais plus que sympathique démarche de la part de Greenlight Creative qui a demandé à quelques graphistes de créer un certain nombre d’affiches à imprimer et à coller sur des pancartes (ça y est, vous avez compris le titre de cet article ?) pour défiler le 18 janvier et faire entendre sa voix. Elles étaient en téléchargement gratuit et en plusieurs tailles, et personnellement, il y en a 1 ou 2 qui vont terminées sur un mur ! Et hop, le lien avec les murs est fait, on peut envoyer les images 🙂

Pour ma part, ce sera une petite sortie A3 du détournement de l’affiche de Full Métal Jacket et de celle version Handmaid’s Tale. Je trouve dommage que les affiches aient été retirées seulement une semaine après l’annonce de la mise à disposition.

Celui qui accrochait des trucs sur les murs…

Puisque désormais tout le monde est au courant que The Mandalorian est la meilleure série Star Wars dans cette partie de l’univers, si on causait sérieusement non pas de la série mais de ce qui tourne autour, et notamment d’une de mes nombreuses obsessions, accrocher des trucs sur les murs, la plupart du temps sous forme de posters et autres affiches en tout genre. (J’accroche aussi des tableaux de figurines Lego, mais ça c’est une autre histoire !)

Pour un début en douceur, une petite plongée du côté du collectif Poster Posse, en mission officielle Disney+, pour faire un peu plus de buzz autour de la série (comme s’il en fallait !) On a convoqué ici quelques unes des pointures du collectif mais également des petits nouveaux pour une série d’affiches plus cools les unes que les autres. Je vous laisse juge dans la petit galerie ci-dessous de la qualité des productions du P.P.

Pour continuer, un passage chez Doaly, dont j’aime bien le style, qui poste depuis maintenant 4 semaines un poster en rapport avec l’épisode du Mandalorian, qui reprend les codes et surtout intègre les éléments importants de l’épisode. (D’ailleurs, petit rappel, les bandes originales sont postées de la même manière, une par semaine et franchement c’est plutôt cool de l’écouter après avoir regardé l’épisode).

Pour la route, encore quelques interprétations glanées au hasard des rebonds de comptes en comptes sur les différents réseaux sociaux, qui me parlent soit par leurs styles, soit par leurs facultés à reprendre les codes de la série…

Enfin, et c’est peut-être celui qui me plait le plus, voilà une interprétation de Sam Gilbey qui illustre totalement l’impression western des premiers épisodes et qui bien sûr parlera aux plus vieux… euh expérimentés d’entre nous. La filiation est tellement évidente en plus, et graphiquement, là on ne peut pas faire mieux dans la démarche artistique :

The Good the Bad and the … Mandalorian Sam Gilbey

Mais dis donc toi, au passage, tu aurais pas l’impression d’avoir oublié un truc… tu vois pas… 90 cm, vert, grandes oreilles, 50 ans… mais si, tu sais la chose la plus mignonne de l’univers, qui défonce même la plus ‘cute’ des licornes et autres chats poilus qui font des bisous à un chien. Non ? tu vois pas ? allez, un indice juste là.

Concept art pour Kid Green partagé par Jon Favreau

Jon Favreau est d’ailleurs revenu il y a 15 jours sur l’absence au rayon peluche (comprendre ici merchandising autour de lui) de ce qui émeut la planète geek depuis la fin de l’épisode 1 : bébé Yoda (ou le bien nommé Kid Green chez nos amis d’outre-atlantique, car pour l’instant on en sait pas plus sur qui il est, ou plutôt ce qu’il est). On sait maintenant qu’il a insisté pour qu’il y ait un black-out total autour de lui et de son apparition en fin de l’épisode 1. Niveau poster, affiche, je n’ai pas réellement trouvé de choses impressionantes sur bébé Yoda, souvent associé au Mandalorian plutôt que tout seul. Par contre, mais ce n’est pas le lieu ni le sujet, la bestiole explose les compteurs à coups de GIF et autres captures d’écran après chaque épisode. L’épisode 4 nous donne un nouveau GIF pour passer en mode #popcorn et on atteint le summum avec le détournement de la scène d’introduction de ce même épisode où certains rivalisent d’inventivité pour utiliser ces 40 secondes déjà assez drôles sans les rajouts des internautes. Je vous renvoie sur cette page chez NERDIST, un site qu’il est bien au passage, pour vous faire un petite idée de l’étendue des dégâts provoqués par Kid Green !

Et pour terminer, j’ai menti juste ci-dessus, enfin un peu à propos de trucs à accrocher au mur en rapport avec Kid Green : Skottie Young a gribouillé ces 2 petits dessins qui me font bien rire et que j’aimerais bien voir sous verre un jour (chez moi de préférence).

Sur ce, je retourne regarder des mêmes de Kid Green dans le Razor Crest et rechercher sur Internet le poster ultime du Mandalorian pour mettre sur un mur.

Celui qui reprenait espoir dans la Force…

Au vu du battage médiatique fait pour l’ouverture de Disney +, j’imagine que tout le monde désormais sait que la souris est dans la place et entend bien tailler des croupières au vilain Netflix et autres services de streaming.

Logo Disney Plus
La souris s’est pas foulé pour le logo

Il est vrai qu’à la vue du catalogue dont dispose Disney (ses propres productions, les studios Pixar, Marvel, la Fox et une autre petite licence de rien du tout nommée Star Wars), on pouvait penser que son arrivée allait bouleverser la hiérarchie sur le marché de la vidéo à la demande. Et même si le jour de son lancement, de nombreux problèmes de connexion ont été enregistrés, la souris annonce un joli 10 millions d’abonnés en une semaine, plutôt encourageant mais rajoutons que les nouveaux d’abonnés disposent d’une semaine gratuite. Il faudra un peu attendre avant de voir si la firme américaine réussit son pari de devenir le leader du streaming.

Mais bon, globalement si vous lisez cet article, ce n’est pas pour discuter du devenir du streaming et son impact sur la couche d’ozone (je suis sûr qu’il y a un lien, mais si cherchez bien), mais pour savoir pourquoi votre serviteur, qui depuis l’épisode 7, a perdu toute foi dans la licence et se console en regardant en boucle la trilogie originale en version VHS non remastérisée, en soupirant chaque fois qu’il trouve un élément ou une scène reprise dans les nouveaux opus de la saga, pourquoi aujourd’hui ce même serviteur retrouve le chemin du bonheur et de la félicité. (Rien que ça, n’ayons pas peur des mots !)

Tout cela tient en 2 mots : THE MANDALORIAN !

The mandalorian logo
Là, par contre le graphiste, on sent qu’il ne rigole pas !

Par où commencer ? Pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir pu voir les 2 premiers épisodes ou qui sont tout simplement passés à côté de l’annonce de la série, prenez 1 minute 44 secondes de votre temps pour regarder le trailer suivant :

Voilà, vous pouvez donc maintenant reprendre une activité normale ou alors faire comme moi, c’est-à-dire le regarder à nouveau tout en prononçant des onomatopées comme « wow », « cool », « ohhh », « nan !?! ». Car cette bande-annonce n’est qu’un avant-goût de ce qui vous attends en regardant cette première série dite « live-action » sur l’univers Star Wars. Pas de spoiler, je le jure dans ce qui va suivre mais revenons un moment sur mon jugement très positif et enthousiaste sur la série. (Bon pas de spoiler mais comme j’ai vu, au moment où je rédige cette chronique, déjà 2 épisodes, je peux en profiter pour étayer mes propos sur ce que nous réserve la série). Mais promis, je ne dévoile rien…

Mandalorien en vadrouille...

Tout, des communiqués officiels et des différentes bandes-annonces annonçait du sable, des droïdes, des Stormtroopers et on est pas déçu. Même si le rachat par Disney de Lucasfilm et les changements dans les différentes histoires ‘officielles’ de Star Wars ont pu choquer certains fans, là au moins, on sait que l’on va manger en long en large et en travers du Star Wars classique : Tu veux des scènes comme sur Tatoïne, bingo, tu veux des scènes digne de la Cantina, et bien le premier épisode pourrait s’intituler : c’est l’histoire d’un Mandalorien qui rentre dans un bar ^^ ! Des vaisseaux ? Il y en a (même si je regrette ce bon Slave One de ce bon vieux Bobba Fett) et j’attends d’ailleurs avec impatience la sortie en Lego du Razor Crest pour l’ajouter à ma petite collection. Alors oui, on est loin de la démesure d’un déploiement de destroyers impériaux mais il n’en reste pas moins que les moyens de transport utilisés renvoient des clins d’œil appuyés à la trilogie (vous avez dit Landspeeder ?)

C’est l’histoire d’un mandalorian qui rentre dans un bar…

En parlant de clins d’oeil, Jon Favreau (Au cas où, Happy Hogan dans Iron Man, that’s the man) à la fois producteur et réalisateur, a franchement dû se marrer en pensant à tous les easter eggs posés un peu partout dans chaque épisode… Spéciale dédicace quand au premier plan, on voit tourner sur une broche un alien bien connu du Retour du Jedi. On a bien compris qu’ici on est dans la Fan Zone et que placer tous ces petits clins d’oeil fait parti du business. Et ce n’est pas pour me déplaire.

Sympa la déco devant la Cantina…

Un autre argument qui fait pencher la balance du bon côté (comprendre ici pas de storytelling à la con suite aux épisodes 7 et 8), le Mandalorien se déroule 3 ans après les évènements du Retour du Jedi, en pleine recomposition politique suite à la chute de Palpatine et de l’Empire. Placer cette histoire dans les marches de l’ex-empire permet à Favreau quelques libertés et ainsi placer son histoire dans la continuité de la saga originale tout en rajoutant ce qu’on fait de mieux aujourd’hui dans l’art et la manière de construire des séries destinées à la télévision.

Et parce qu’une série SW ne serait pas vraiment complète sans une bande-son, et même si John Williams ne reprend pas du service cette fois-ci, les compositions inspirées de Ludwig Göransson (Black Panther et Creed à son actif entre autres) entrainent les oreilles vers d’autres univers que ceux auxquels l’on pourrait s’attendre sur une production SW. Les bandes-son sont disponibles sur la plupart des plateformes d’écoute en ligne.

Vivement vendredi prochain pour un épisode 3 qui tiendra je l’espère autant la route que les 2 premiers et confirmera tout le bien que je pense de cette série, avant bien sûr de voir confirmer une saison 2 pour l’année prochaine bien entendu !

Laisse pas trainer ton vaisseau sinon…

Et allez je craque… dans l’épisode 2 y a aussi un magnifique SANDCRAWLER !!! The Jawas are in da place ! UTINI !!

Celui qui a cru un moment que la force allait se réveiller….

En préambule, attention de ne pas lire la suite de ce billet si vous n’avez pas (ou ne voulez pas) savoir et/ou apprendre des choses sur le nouvel épisode de Star Wars. Ce qui suit n’engage que moi, bien entendu, mais il fallait que ça sorte parce que je ne pense pas qu’on m’y reprendra de sitôt d’espérer autant d’un film. Explication de texte :

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Gastronogeek, un OCNI (Objet Culinaire Non Identifié) qui pourrait bien devenir une référence…

Nous sommes le mercredi 16 septembre, et en ce moment même se déroule un évènement presque aussi important que l’arrivée de Marty en 2015, la sortie du Livre des Potions, aussi nommé Gastronogeek 2. Pour ceux qui n’auraient jamais entendu parler de Gastronogeek, il s’agit d’un livre édité chez Hachette Cuisine en 2014 dont l’auteur est Thibaut Villanova. Comme le dit si bien le sous-titre, 42 recettes inspirées des cultures de l’imaginaire, rien que pour le plaisir des papilles. Où comment mêler des références culturelles et il faut le dire plutôt orientées geek avec l’art culinaire. Succès en librairies (j’ai quand même du patienter 15 jours pour mettre la main sur mon exemplaire, faute de commandes suffisantes, bah oui ma petite dame, on l’avait pas vu venir et donc on est à la ramasse !) et must-have des fêtes de fin d’année. En effet, combien de personnes vivant avec un geek ont enfin pu acheter autre chose que la énième figurine ou le énième T Shirt à message pour Noël ?

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New York, New York (Partie 2).

Après avoir réservé un appartement, un vol, changé un peu d’argent, il est temps d’aborder la partie voyage à proprement parlé. Suite aux péripéties des billets d’avion, le départ de Genève restait problématique au niveau de la voiture. En effet, prendre le train pour Genève de Lyon est hors de prix et très long

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New York, New York (air connu…)

1 an déjà depuis la découverte de Big Apple et pourtant il reste en mémoire si peu de choses alors que sur place, j’en ai pris tellement plein les yeux. Alors pour ne pas tout oublier, quoi de mieux que d’écrire, hein. Et puis, si les galères évitées ou les bons plans peuvent servir à d’autres, c’est toujours ça de pris 🙂
Comme cela risque d’être un peu long, je vais diviser mes articles en 3 parties (peut-être 4), avant le départ, le voyage et l’arrivée à N.Y.C. et enfin sur place, avec notamment les transports, la nourriture (c’est important la nourriture), et les choses incontournables (à mon avis) à faire sur place.
So let’s go to New York…
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Réouverture après travaux !

Premiers pas chez le nouvel hébergeur, avec le nouveau nom de domaine, et prêt pour de nouvelles aventures. Le blog ancienne version chez Blogspot sera maintenu encore un moment mais il est voué à disparaitre purement et simplement. WordPress installé désormais, jamais utilisé, donc pleins de choses à apprendre pour paramétrer les menus et autres barres latérales.

Au menu de ce nouveau blog, un peu moins de WoW, lassitude quand tu nous tiens (je ne pensais pas écrire cette phrase un jour), mais je reste chez Blizzard quand même avec Heartstone et Heroes of the Storm qui occupent un peu mon temps. Mais du coup, comme j’adore le nom de mon Blog (moment intense de self-satisfaction) et que je ne vais pas en changer, je vais juste étendre mes commentaires et découvertes à mes autres occupations, en vrac, des Lego, des séries télé, du cinéma, de l’informatique, etc. (Note to self de fin d’article : faire plus d’articles et mettre à jour le blog plus souvent ;))